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Le prétendu «projet de loi» américain sur le Xinjiang est un mensonge flagrant

criPublished: 2021-12-26 16:40:21
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«Au Xinjiang, aucune organisation ni personne n’a jamais forcé les masses de différentes ethnies à travailler; les habitants choisissent volontairement et librement leur travail.». En réponse à la signature récente par la partie américaine de la soi-disant «loi sur la prévention du travail forcé des Ouïghours», la région autonome ouïgoure du Xinjiang a organisé une conférence de presse le 25 décembre pour démentir par des faits les rumeurs sur la question du Xinjiang propagées par la partie américaine. C’est une manœuvre politique de la partie américaine pour abuser de la juridiction au long bras et réaliser son projet de contenir la Chine avec la question du Xinjiang.

Qu’est-ce que le «travail forcé»? C'est clairement stipulé dans le droit international. Selon la Convention sur le travail forcé de l’Organisation internationale du Travail(OIT), on entend par travail forcé tout travail ou service qui n’est pas volontaire, sous la menace d’une peine quelconque. Sur la base de ces critères, il n’y a tout simplement pas de problème de «travail forcé» au Xinjiang.

Lors de la conférence, un cueilleur de coton du Xinjiang a partagé son expérience. Il a dit: «13 hectares de coton ont été récoltés à la machine en moins d’une journée, et les revenus nets ont atteint 300 000 yuans.» Un professeur de l’Université normale du Xinjiang a déclaré que sur les 39 étudiants de sa classe qui ont obtenu leur diplôme cette année, 34 sont devenus enseignants dans les écoles primaires et secondaires de leur ville natale, tandis que cinq autres ont été admis dans la fonction publique.

Il s’ensuit que le soi-disant «travail forcé» au Xinjiang est un mensonge flagrant, que ce soit à la lumière des conventions internationales, des dispositions légales chinoises ou des faits objectifs! Sur la base de mensonges, les Etats-Unis ont élaboré une loi malveillante pour objectif de priver les habitants du Xinjiang du droit de travailler et de s’enrichir afin de saper la prospérité et la stabilité du Xinjiang et de contenir le développement de la Chine.

Le jour même, la Fédération chinoise de l'industrie textile et 12 associations professionnelles ont publié une déclaration commune, indiquant qu’en imposant de faux labels de « travail forcé » à tous les produits fabriqués au Xinjiang, pour les Etats-Unis, cela constitue essentiellement un acte d’hégémonie qui enfreint gravement les droits de l’homme fondamentaux du Xinjiang, perturbe et sape les chaînes d’approvisionnement internationales et nuit aux intérêts des entreprises internationales et des consommateurs.

La communauté internationale connaît depuis longtemps la situation du travail au Xinjiang. Depuis fin 2018, plus de 2100 personnes de plus de 100 pays et régions ont visité le Xinjiang. Ils se sont rendus dans les champs, les usines et chez les agriculteurs, ont vu de leurs propres yeux les conditions de travail des masses de différentes ethnies du Xinjiang et apprécié la politique et les résultats de la sécurité du travail au Xinjiang. C’est un consensus international, ce n’est pas un «projet de loi» américain qui peut le nier!

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